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Aussi appelé à tort Thibodeau du comté de Beauce (une variété différente), ce cultivar patrimonial du Québec a une histoire bien singulière.

Selon ce que j’ai appris à son sujet, Mme Jeannine Thibodeau de St-Jules en Beauce aurait reçu une tasse de graines de ce bon cultivar en 1973 comme cadeau de mariage de la part de sa tante Marie -Jeanne Boucher (né en 1920), qui elle les tenait de sa mère Angélina Rouleau (né en 1896 et marié en 1911), qui elle-même les aurait reçus de son beau-père Joseph Édouard Boucher, de Beauceville !

À ne pas confondre avec les haricots ‘’Famille Boucher’’ dont l’origine viens aussi de Beauce mais d’une autre branche de la famille Boucher.

Tout ça pour dire que ç’est un haricot vert sans filets, dont les plants nains sont assez hâtifs, environ 55 jours à maturité ici en Gaspésie. Tendres et savoureux très facile de culture ils produisent une abondance de petites fèves(cosses) vertes savoureuses.

Un autre rare cultivar qui a besoin d’amour sans quoi il pourrait disparaitre.

 Alors cultivons le abondamment pour que cela n’arrive pas et que son apport à la biodiversité se perpétue pour longtemps encore.

Semer directement en terre lorsque tout risque de gel est écarté.

Minimum 25 semences par sachet.

Haricot Thibodeau de Saint Jules.

3,25C$Prix
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